La répression allemande est souvent aveugle , notamment en milieu de l'année 1944 quand les troupes déjà aguerries des jeunesses Hitlériennes passent en Eure et Loir, en y laissant des traces de sang.
Alors que la bureaucratie très développée des Allemands qui gèrent le département, durant des années parfois, s'attache à mettre en valeur des preuves justifiant leurs condamnations, la fin de l'occupation abandonne toute pratique juridique au profit du peloton d'exécution.
Dans ce flot de répression aveugle, des gens ordinaires sont parfois happés par la situation et en payent un prix sans commune mesure avec leur responsabilité.