Né le 21 octobre 1913 à Paris (XIVe arr.), fusillé le 30 mars 1944 au Mont-Valérien, commune de Suresnes (Seine, Hauts-de-Seine) ; plâtrier ; résistant FTPF de l’Eure et de l’Eure-et-Loir.
Fils de Paul, René Signoret, maçon, et de Lucie Chauvet, couturière, Edmond Signoret, plâtrier demeurait à Ézy-sur-Eure (Eure) commune limitrophe à celle d’Anet en Eure-et-Loir. Il s’était marié le 22 juin 1935 à Montreuil (Seine, Seine-Saint-Denis) avec Yvonne Dumont et avait 3 enfants.
Il exerce comme plâtrier et rejoint les groupes FTP.
Il fut arrêté pour « activité de franc-tireur ».
Le 15 mars 1944, il fut condamné à mort par le tribunal militaire allemand FK 544 de Chartres (Eure-et-Loir)déplacé à Fresnes. Il a été fusillé le 30 mars 1944 au Mont-Valérien par les autorités allemandes, puis inhumé au cimetière d’Ivry-sur-Seine (Seine, Val-de-Marne). Il est un des trente et un fusillés d’Eure-et-Loir. Voir liste à Paul Espéret.
La mention « Mort pour la France » lui fut attribuée par décision du secrétaire général aux Anciens Combattants en date du 25 juin 1945.
Edmond Signoret fut homologué à titre posthume sergent des Forces françaises de l’intérieur (FFI) le 13 septembre 1957.
Son nom est inscrit sur la Cloche commémorative du Mont-Valérien et sur le monument aux morts d’Ézy-sur-Eure avec son camarade fusillé le même jour Clovis Vigny.
https://maitron.fr/spip.php?article166625, notice SIGNORET Edmond, René par Julien Lucchini,
